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  • Les Irresponsables: Qui a porté Hitler au pouvoir ? (French Edition)
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Les Irresponsables: Qui a porté Hitler au pouvoir ? (French Edition) Kindle Edition

4.6 out of 5 stars 87 ratings
4.4 on Goodreads
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Un consortium libéral-autoritaire, tissé de solidarités d’affaires, de partis conservateurs, nationalistes et libéraux, de médias réactionnaires et d’élites traditionnelles, perd tout soutien populaire : au fil des élections, il passe de presque 50 % à moins de 10 % des voix et se demande comment garder le pouvoir sans majorité, sans parlement, voire sans démocratie. Cet extrême centre se pense destiné à gouverner par nature : sa politique est la meilleure et portera bientôt ses fruits. Quand les forces de répression avertissent qu’elles ne pourront faire face à un soulèvement généralisé, le pouvoir, qui ne repose sur aucune base électorale, décide de faire alliance avec l’extrême droite, avec laquelle il partage, au fond, à peu près tout, et de l’installer au sommet.
Cette histoire se déroule en Allemagne, entre mars 1930 et janvier 1933. Elle repose sur une lecture des archives politiques, des journaux intimes, correspondances, discours, articles de presse et Mémoires des acteurs et témoins majeurs. Elle révèle non pas la progression irrésistible de la marée brune, mais une stratégie pour capter son énergie au profit d’un libéralisme autoritaire imbu de lui-même, dilettante et, in fine, parfaitement irresponsable.

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Product details

  • ASIN ‏ : ‎ B0DV5RLHRG
  • Publisher ‏ : ‎ Editions Gallimard
  • Accessibility ‏ : ‎ Learn more
  • Publication date ‏ : ‎ Feb. 6 2025
  • Language ‏ : ‎ French
  • File size ‏ : ‎ 1.0 MB
  • Screen Reader ‏ : ‎ Supported
  • Enhanced typesetting ‏ : ‎ Enabled
  • Word Wise ‏ : ‎ Not Enabled
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2073061201
  • Page Flip ‏ : ‎ Enabled
  • 鶹 Rank: #68,878 in Kindle Store (See Top 100 in Kindle Store)
  • Customer Reviews:
    4.6 out of 5 stars 87 ratings

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Johann Chapoutot
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  • E. Pierre
    5.0 out of 5 stars On n'essaye pas...
    Reviewed in France on May 4, 2025
    Verified Purchase
    Livre écrit par la référence française du sujet, issus de longs travaux d'analyses et de lecture des actes politiques qui ont mené jusqu'aux événements fatal. La lecture est aisée et l'analyse sous différents angles des événements très intéressante.
    Report
  • Jean-Claude
    5.0 out of 5 stars Parfait
    Reviewed in France on April 4, 2025
    Verified Purchase
    Parfait
  • Freecitizen
    4.0 out of 5 stars Livre composite, mais intéressant
    Reviewed in France on May 24, 2025
    Verified Purchase
    Johann Chapoutot est un excellent historien qui a renouvelé l'histoire du nazisme dans plusieurs livres ; nous avons déjà analysé ici certains d’entre eux.
    L’entrée en matières montre que l’histoire de la République de Weimar est un sujet peu enseigné dans les programmes officiels de l’enseignement secondaire français en 2025, par rapport à la période 1990-2000 vécue par l’auteur (p. 32). Pour les lycéen(ne)s du début de la 5e République (1958-1965), dont nous sommes, l’histoire de l’Allemagne de Weimar semble n’avoir été enseignée que très succinctement.
    Pour Chapoutot, l’histoire de la fin tragique de la République de Weimar méritait d’être davantage explorée (p.34). Le sujet du livre est donc la fin de la République de Weimar, et en particulier la dernière année avant le 30 janvier 1933, date de l’accession d’Adolf Hitler et du NSDAP (le parti nazi fondé par Hitler en 1920) à la chancellerie après les élections législatives nationales du 6 novembre 1932.
    Comme le montre le livre, de 1919 à 1923, la République de Weimar avait été le théâtre de nombre de tentatives de révolutions et/ou de coups d’état, les uns émanant de la gauche communiste, les autres de l’extrême-droite. Ces tentatives incluent, entre autres, l’insurrection spartakiste de janvier 1919 à Berlin (réprimée dans le sang par les corps francs du général Groener sous la tutelle de Noske, ministre de la défense du premier gouvernement SPD constitué lors de l’armistice de novembre 1918, p. 20), et le putsch raté du NSDAP de 1923 à Munich. Après ce putsch, Adolf Hitler est condamné à 5 ans de prison, mais libéré sous conditions en 1924 par le juge Franz Gürtner (pp. 128-129). Après cet échec (p. 203) Hitler se rallie en principe à la voie légaliste pour parvenir au pouvoir. (Gürtner sera ensuite récompensé de sa clémence en étant nommé ministre de la justice quand Hitler devient chancelier en 1933). Ensuite, après une certaine stabilisation de la situation de 1924 à 1928, la période 1928-1932 a été en Allemagne une période de grande instabilité politique, et de campagne électorale quasi-permanente, sur fond de très grande violence (p. 136) entre partis, tous les partis entretenant des milices armées (avec près de 100 morts et plus de 1000 blessés graves rien qu’en juillet 1932). De plus, la république de Weimar aura connu « un nombre inquiétant d’assassinats politiques » (p. 136).
    1932 est en Allemagne, comme toute la période 1928-1932, une année très chargée sur le plan électoral, avec d’abord l’élection présidentielle en mars-avril 1932, à la fin du mandat de 7 ans de Hindenburg (élu en 1925, succédant au social-démocrate Friedrich Ebert). Hindenburg est réélu au 2e tour (pp. 106-108) contre Adolf Hitler, candidat NSDAP, et un candidat KPD, avec le soutien du SPD : Hindenburg est pour le SPD un moindre mal par rapport au parti nazi NSDAP
    Il y a ensuite en 1932 deux élections législatives nationales, en juillet, suivie d’une dissolution du Reichstag, le chancelier Von Papen (du parti catholique centriste Zentrum) n’ayant pas de majorité, d’où une nouvelle élection le 30 novembre 1932. A ces élections nationales s’ajoutent, l’Allemagne étant un état fédéral, des élections locales, avec à partir de 1930 des majorités (en coalition ou absolues) du NSDAP dans 5 Länder (Brunswick, Thuringe, Oldenburg, Mecklenburg, Anhalt) (pp.50-53). En Prusse, le plus grand Land, bastion de la gauche (SPD et KPD) les élections ont été annulées car aucun exécutif n’a de majorité, Le Land est alors gouverné de manière centralisée par un commissaire du Reich qui est Von Papen du Zentrum avec, en pratique, remplacement des hauts fonctionnaires de gauche par des éléments proches des nazis (pp.134-135).
    Or, les élections de novembre 1932 se soldent par un grave échec pour le NSDAP, et aussi pour Von Papen, le chancelier sortant, qui n’est pas en mesure de constituer un gouvernement. Hindenburg désigne alors le général Kurt Von Schleicher, proche de Von Papen, comme chancelier.
    Il s’ensuit alors une lutte d’influence pour imposer Hitler comme chancelier dont le chef de file est von Papen, soutenu notamment par Hugenberg, un magnat de la presse à la tête du DNVP, parti nationaliste rival du NSDAP. Hitler, est nommé chancelier, le 30 Janvier 1933, avec Von Papen comme vice-chancelier et Hugenberg comme ministre de l’économie et de l’agriculture et Goering, ministre sans portefeuille.
    Or, Papen et d’autres qui l’avaient suivi avaient fait le pari très hasardeux d’éliminer à court terme Hitler. Mais ils perdent rapidement leur pari, et sont tous rapidement évincés : Papen perd la vice-chancellerie dès avril 1933, et laisse la place de ministre-président de Prusse à Goering. La plupart d’entre eux sont assassinés lors de la Nuit des Longs Couteaux (juin 1934) : c’est le cas de Schleicher, et de plusieurs des proches de Papen. Papen et Hugenberg seront épargnés, et contraints de se rallier (docilement ?) au parti nazi, devenu parti unique en juin 1933, sans doute à cause de leur notoriété et de leur proximité avec Hindenburg. Hitler a alors établi sa dictature.
    Hugenberg est alors exproprié de ses entreprises de média, mises sous la tutelle de Goebbels, ministre de la propagande ; il reste député du parti unique au Reichstag jusqu’à sa mort (1941). Quant à Papen, il reste député du parti unique et est ensuite éloigné de Berlin à des postes diplomatiques jusqu’en 1945.
    Papen et ceux qui l’ont soutenu fin 1932 et début 1933, c’est-à-dire les membres non nazis du dernier gouvernement de Weimar ont-ils eu des responsabilités (pénales, morales, politiques) quant à l’arrivée au pouvoir d’Hitler ? N’étaient-ils pas des irresponsables (d’où le titre du livre) ? D’où le dernier passage de l’épilogue du livre : "Hindenburg, Papen et Schleicher ne peuvent pas être critiqués pour avoir donné volontairement le pouvoir à Hitler – ce n’est pas le cas – mais pour avoir scellé le succès des nazis, celui-là même qu’ils voulaient éviter, par leur dilettantisme." (p. 269, selon les mémoires d’un ex-haut fonctionnaire de Weimar publiés vers 1960).
    Sur le plan pénal, (pp. 124-129), le livre montre que les personnages en question encore en vie en 1945, restés dans les zones d’occupation des trois alliés occidentaux n’ont été condamnés qu’à des peines légères, pour être ensuite amnistiés, libérés par anticipation ou acquittés, très souvent faute de preuves suffisantes de complicité avec les crimes nazis. Quant à Papen, acquitté par le tribunal international de Nuremberg en 1946, il est ensuite condamné à 8 ans de prison, cette fois par un tribunal de dénazification allemand. Il est libéré au bout de 4 ans seulement (p. 17), acquitté finalement en appel en 1949, et ensuite se retire dans son château familial jusqu’à sa mort (1969).
    Jusqu’ici pas trop de problèmes… Mais il nous semble que la situation de l’Allemagne de la fin de la République de Weimar (le sujet principal du livre) est doublé d’un second sujet traité parfois de manière hasardeuse, péremptoire et peu argumentée, pour un lectorat de non-historiens dont on peut faire partie : les parallèles entre cette situation et d’autres périodes historiques parfois très lointaines, et avec la France et l’Allemagne contemporaines. Il en va de même des discussions de fond sur l’Allemagne du début des années 1930, qui comportent souvent des affirmations péremptoires et discutables, qui mériteraient aussi une argumentation plus approfondie.
    Par exemple (p. 23), parler du traité de Versailles comme d’une "conférence de la paix" "carthaginoise", en se référant implicitement à la destruction de Carthage sous une autre république, la république romaine, en l’an -146, peut paraitre excessif. Même si Chapoutot a raison sur Versailles, le sort de Carthage ressemblait davantage à ce qu’on appellerait 2171 années plus tard un génocide qu’au traité de Versailles de 1919, même si sans doute les dispositions léonines de ce traité ont été une grave erreur.
    Quand par ailleurs (p. 27), notre auteur de la classe dirigeante allemande du début des années 1930 comme faisant preuve (selon des analystes contemporains) d’une "arriération quasi-asiatique", il se réfère sans doute (mais sans le préciser) à ce que Marx et Engels appelaient le mode de production asiatique en se référant à des pays comme la Chine impériale des Han, ou l’Inde. Mais cette allusion mériterait d’être précisée et argumentée : d’autant qu’il suffisait de comparer la situation de l’Allemagne de Weimar et ses élites aux capitalismes contemporains, extraordinairement prospères, de pays comme la Chine populaire, la Corée du Sud et le Japon, sans faire allusion (qui peut paraitre péjorative et excessive) à l’arriération supposée de la Chine impériale de la dynastie Han.
    Enfin (p. 93), comparer un magnat de la presse sous la République de Weimar aux grands patrons de médias contemporains, en France et dans des pays comme les USA, en disant de manière péremptoire que "Hugenberg surclasse de loin ses avatars contemporains" comme Berlusconi et Murdoch mériterait d’être argumenté de manière un peu plus approfondie d’autant dans le capitalisme contemporain de pays occidentaux comme les USA ou la France il y a sans doute des exemples qui supportent la comparaison. De plus, on ne peut pas comparer les médias des années 1930 (centrés sur la presse écrite et la radio) aux médias contemporains sans faire état de la véritable révolution technologique des médias contemporains, marqués par des innovations comme Internet et la télévision numérique terrestre. Bref, ici encore, Chapoutot peut avoir raison mais pourrait davantage étayer son argumentation.
    Sur le fond en tout cas, pour Marx, se référant à Hegel, dans Le 18 Brumaire de Louis Bonaparte : "Hegel fait quelque part cette remarque que tous les grands événements et personnages historiques se répètent pour ainsi dire deux fois. Il a oublié d’ajouter : la première fois comme tragédie, la seconde fois comme farce".
    Nous pensons qu’il faut être extrêmement prudent dans ce type d’analogies, ici en Europe presque 100 ans après la République de Weimar mais on peut, à la suite de la lecture de notre livre, se poser (sans y répondre) la question de savoir si les années 1930 vont se répéter ne fût ce que de manière atténuée (comme farce par rapport à la tragédie des années 1930 ?)
    Une dernière remarque critique : nous ne sommes pas d’accord avec notre auteur lorsqu’il semble essentialiser de manière très négative, voire apocalyptique, le capitalisme contemporain comme marqué (comme l’était l’Allemagne nazie) par le darwinisme social, le racisme, la guerre, et les progrès de la science contemporaine qu’il a tendance à sous-estimer. Le capitalisme contemporain est très divers, il y a de nombreuses formes de capitalisme de par le monde (cf. Branko Milanovic, Capitalism, Alone) et tous ces éléments négatifs ne sont pas une fatalité.
    Bref et en conclusion, nous pensons que ce livre est intéressant malgré les éléments critiques soulevés et même si on n’est pas d’accord sur de nombreux points avec l’auteur.
  • Ashram
    5.0 out of 5 stars J. Chapoutot, nouvel opus sur l'Allemagne Nazie
    Reviewed in France on March 14, 2025
    Verified Purchase
    Inconditionnel de l'historien J. Chapoutot et ses recherches & thèses sur l'Allemagne Nazie, encore une lecture indispensable, aussi par sa triste actualité des montées des extrêmes droites en Europe.
  • Client d'鶹
    5.0 out of 5 stars analyse fine et bien documentée
    Reviewed in France on March 3, 2025
    Verified Purchase
    A lire absolument pour comprendre les in variants structurels et comportementaux qui risquent de nous entraîner vers le fascisme comme aussi la dictature qui se met en danger lace aux US

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